Tour de Jeu
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Rechercher
 
 

Résultats par :
 


Rechercher Recherche avancée

Derniers sujets
» Partie 41 - Il était une fois une Nosfératu
Partie 41 - Il était une fois une Nosfératu EmptyDim 21 Jan - 14:33 par Bonisagus (David)

» Partie 40 - Les mystères de Nîmes
Partie 41 - Il était une fois une Nosfératu EmptyMar 12 Déc - 17:48 par Bonisagus (David)

» Partie 39 - Abdication en Arles
Partie 41 - Il était une fois une Nosfératu EmptySam 28 Oct - 22:50 par Bonisagus (David)

» Partie 38 - Que la peste soit de cette Tzimisce
Partie 41 - Il était une fois une Nosfératu EmptyDim 8 Oct - 20:41 par Bonisagus (David)

» Partie 37 - Deux princes pour une cité
Partie 41 - Il était une fois une Nosfératu EmptyDim 13 Aoû - 16:56 par Bonisagus (David)

» Partie 36 - Foyer, doux foyer ...
Partie 41 - Il était une fois une Nosfératu EmptyDim 7 Mai - 20:49 par Bonisagus (David)

» Partie 35 - Rencontre avec une première-née et cas de conscience ...
Partie 41 - Il était une fois une Nosfératu EmptyDim 16 Avr - 18:47 par Bonisagus (David)

» Partie 34 - La chute de Nabuchodonosor
Partie 41 - Il était une fois une Nosfératu EmptySam 18 Mar - 20:20 par Bonisagus (David)

» MDJ STURM : [Savage world] ETU
Partie 41 - Il était une fois une Nosfératu EmptyLun 14 Nov - 9:08 par eric

Sondage
Avril 2024
LunMarMerJeuVenSamDim
1234567
891011121314
15161718192021
22232425262728
2930     

Calendrier Calendrier

Petites annonces

    Pas d'annonces disponibles.

    Le Deal du moment : -40%
    -40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + ...
    Voir le deal
    29.99 €

    Partie 41 - Il était une fois une Nosfératu

    Aller en bas

    Partie 41 - Il était une fois une Nosfératu Empty Partie 41 - Il était une fois une Nosfératu

    Message par Bonisagus (David) Dim 21 Jan - 14:33

    Partie du 19 janvier 2024.

    Joueurs présents :
    - Julien (Pierre d'Astier - Brujah chevalier arlésien).
    - Quentin (Hélion Sanguérius - Cappadocien médecin arlésien).
    - David (Jean - Brujah camarguais).
    - Frédéric (Marceù Giordani - Tzimisce de l’ancien clan).

    ****************************************

    Nuit du 23 au 24 février 1198

    Après avoir vaincu les deux groupes composés de sept « larves », messire Hélion découvrit que trois d’entre elles possédaient une aura résiduelle qui était en train de faiblir alors qu’elles étaient en train de se décomposer. Rapidement il parvint à extraire les coeurs desséchés de ces trois créatures, ceux-ci contenant d’après lui du Virtus, cette manifestation de la magie dans notre monde (fort utile aux pratiquants des arts et très recherché par eux).

    Messire Hélion pu constater que les créatures avaient effectivement été autrefois des hommes. Leurs membres avaient été recroquevillés dans leur corps de larve pour n’en laisser dépasser que leurs mains et leurs pieds griffus. Mais la masse musculaire était bien plus importante que celle qu’aurait pu avoir un être humain. De même, leur peau était anormalement épaisse.

    Sur ce, mes compagnons virent arriver messire Marceù Giordani. Il leur expliqua que messire Talbot, le prince par intérim d’Arles (et émissaire de dame Esclarmonde), lui avait fait savoir que messire Pierre d’Astier allait avoir besoin de lui. Messire Marceù Giordani avait aussi tôt convoqué des esprits qui l’avaient conduit jusqu’à eux (après avoir adopté une forme de voyage rapide).

    Après avoir progressé dans le conduit d’égout, mes compagnons découvrirent des alcôves vaguement creusées dans les murs maçonnés de l’ancien édifice romain. De ces alcôves deux nouvelles larve émergèrent et attaquèrent mes compagnons qui les vainquirent rapidement. Ils découvrirent également deux autres larves encore en torpeur qu’ils eurent tôt fait de détruire. D’une de ces larves, messire Hélion parvint à extraire de nouveau du Virtus.

    Le conduit d’égout dans lequel ils pataugeaient finit par déboucher dans une sorte de collecteur (également maçonné) bien plus imposant que l’étroit tunnel qu’ils avaient emprunté jusque là. Des voix gutturales étranges et incompréhensibles se firent entendre. Messire Marceù, grâce à sa maîtrise de la discipline Animalisme, discerna quelques fragments de la conversation. Il s’approcha discrètement et aperçut une énorme larve en train de « discuter » avec un caïnite qui ne pouvait être qu’Anatole, d’après la description que mes compagnons lui en avaient fait. Ceux-ci se trouvaient à l’une des extrémité du collecteur (long d’une trentaine de pas) qui se terminait par une cavité taillée dans la roche. Anatole était accroupi devant l’énorme larve, et il traçait d’étranges signes dans le sol de la cavité.

    Voici la conversation que messire Marceù put saisir et qu’il traduisit tout aussi discrètement à mes compagnons.

    Anatole : « Qui est cette Tia ? »

    La grosse larve : « Tia est notre mère à tous. C’est elle qui amène les nouveaux-nés ici, au couvoir. Elle les confie alors aux bons soins de la couvée. Et lorsque notre temps est venu, elle vient nous chercher pour nous guider vers le couvoir de la félicité. Un jour moi aussi j’irai rejoindre le couvoir de la félicité, mais pour l’instant Tia veut que je reste ici. »

    Anatole : « Je ressent dans votre aura les traces d’une forme de Domination. Je pense que cette créature, cette « Tia », n’est pas ce qu’elle prétend être, qu’elle vous ment, et qu’elle se sert de vous. »

    L’énorme larve donna alors un gros coup de tête au Malkavien qui fut projeté contre la paroi de la cavité. D’autres larves (de tailles plus modestes) sortirent des parois de la cavité et devinrent à leur tour menaçantes à l’encontre d’Anatole.

    Mes compagnons décidèrent alors d’intervenir.

    Messire Marceù tenta de dominer l’énorme larve, sans succès. Cela attira par contre l’attention de celle-ci qui se précipita sur lui en ondulant à une vitesse impressionnante, et ce malgré sa morphologie imposante et peu adaptée à tout déplacement rapide. Elle était suivie par deux larves, deux autres larves continuant quand à elle à menacer Anatole toujours en mauvaise posture à l’extrémité du collecteur.

    Mes compagnons grâce à leurs lames, leur maîtrise de la Thaumaturgie, les tentacules d’ombre de Lucita, et l’ignoble mégère, parvinrent à vaincre ce nouveau groupe monstrueux et à sauver Anatole d’une fin funeste.

    Messire Hélion parvint à extraire de nouveau du Virtus dans les cadavres en train de se décomposer de trois des créatures.

    Mes compagnons choisirent dans un premier temps d’emprunter un conduit d’où provenait un courant d’air. Ils finirent par déboucher à plusieurs centaines de pas des remparts sud de Nîmes dans un marécages où se vidait les égouts de la cité.

    Ils revinrent ensuite vers le collecteur principal et sa cavité où il découvrirent dans la dizaine d’alcôves qui y étaient creusées deux autres larves en torpeur profonde (larves qu’ils décidèrent de détruire promptement).

    La cavité donnait sur une grille rouillée mais solide. Il fallut à messire Pierre d’Astier l’aide de Jean pour parvenir à la forcer. Celle-ci était visiblement renforcée par magie. La grille permettait d'accéder à un tunnel taillé dans la roche (comme la cavité où ils se tenaient).

    Le tunnel montait régulièrement. Mes compagnons en déduisirent rapidement qu’ils se trouvaient sans doutes désormais sous la colline de la tour Magne.

    Après avoir un peu progressé, messire Pierre d’Astier fut victime d’une glyphe de feu apposée dans la paroi du tunnel. Ses autres compagnons, situés derrière lui, furent moins touchés que lui.

    Un peu plus loin messire Hélion devina une autre glyphe dans la paroi qu’ils détruisirent facilement en grattant son support.

    Mes compagnons débouchèrent ensuite dans une large grotte naturelle d’une quinzaine de pas de diamètre. Dans celle-ci se trouvait une petite retenue d’eau cristalline. Cette retenue d’eau était alimentée par une source vigoureuse qui s’engouffrait ensuite dans la paroi (pour sans doutes aller faire tourner les trois meuneries de Nîmes et remplir les douves de la cité).

    Sur la paroi de la grotte mes compagnons découvrirent une gravure de grande taille. Celle-ci, bien qu’en partie effacée par le passage du temps, représentait un être-fée (reconnaissable à ses oreilles pointues) portant une jarre versante sur l’épaule A coté de lui étaient gravés des humains, bien plus petits que lui.

    Messire Hélion détecta dans la retenue d’eau une source de Virtus. Ces sources de Virtus, particulièrement rares, sont connues pour produire régulièrement du Virtus qui peut être récolté à certains moments précis de l’année. Ce Virtus semblait prendre forme régulièrement sous la forme de cristaux de roche au fond de l’eau cristalline. Messire Hélion parvint à extraire deux d’entre eux qui semblaient être arrivés à maturité.

    Un autre tunnel, taillé dans la roche, débouchait dans la grotte.

    Après l’avoir emprunté, mes compagnons découvrirent une grande salle maçonnée comportant une longue partie centrale et deux ailes plus petites. La partie centrale de la salle était inondée sur une dizaine de centimètres. Les deux ailes étaient quand à elles au sec.

    L’aile de droite semblait vide. Celle de gauche comportait une table de travail sur laquelle était disposé le corps d’un caïnite (d’après son aura). Celui-ci était déformé, ses membres repliés sur eux-mêmes, comme si on avait commencé à le transformer en larve. Sur la même table était disposée une sorte de grosse marmite (dont l’aura montrait qu’elle possédait une forme de magie), et des tubes en cuivre. A coté de la table se trouvait une cage dans laquelle était enfermé un humain.

    Mes compagnons pénétrèrent alors dans la pièce. Aussi tôt un mur d’eau se dressa derrière eux, leur coupant toute possibilité de retraite. Messire Hélion tenta de le traverser au moyen de sa main et n’y parvint pas. L’humain dans la cage interpella alors mes compagnons. Il leur expliqua qu’il avait vu l’autre être humain être vidé de son sang et transformé par une créature immonde (sans doutes la Nosfératu que messire hélion avait déjà aperçu dans l'esprit d'Yselda).

    Mes compagnons furent aussi tôt entourés par des gangues d’eau. Celles-ci étaient d’une extrême résistance.

    L’hideuse Nosfératu apparut. Elle rappela immédiatement à messires Pierre d’Astier, Jean, et Hélion la Nosfératu qu’ils avaient pu apercevoir lors d’une fugace vision du passé. Durant cette vision, ils avaient pu assister à la destruction d’un Néarchi aux abords du lac du Peïroou, sur les hauteurs du village de Saint Rémy. Le sang du Néarchi était ensuite allé contaminer la source d’une ancienne cité romaine située en contrebas (corrompant par la même occasion l’esprit de l’eau qui s’y trouvait). La Nosfératu en question était Titia. Elle était alors la conseillère de Lucius, le prince Cappadocien d’Arles durant sa période romaine. Lucius devint le sire de dame Hygia, l’ancienne princesse d’Arles (dont messire Pierre d’Astier prit la succession), et Titia devint ensuite la dame de Marcianus, le conseiller de dame Hygia (qui donna tant de fil à retordre à mes compagnons alors qu’ils n’étaient encore que de jeunes caïnites).

    Elle se transforma pour prendre une apparence simiesque, musculeuse, gigantesque, et fit aussi tôt face à messire Pierre d’Astier qui avait réussi à se libérer de sa prison liquide. Deux gigantesques larves sortirent du sol à la suite de la Nosfératu. L’une des larves fut rapidement en proie aux tentacules d’ombres de Lucita qui la clouèrent sur place.

    Le combat se résuma en un violent corps à corps entre messires Pierre d’Astier et Jean d'un coté, et la Nosfératu et sa seconde larve d'un autre. La larve fut rapidement détruite, mais la Nosfératu offrit une grande résistance à mes compagnons, et ce malgré les pouvoirs de Mortis de messire Hélion (qui parvint difficilement à faire sortir une de ses mains de sa prison liquide). La Nosfératu fut néanmoins battue.

    Après une courte discussion entre mes compagnons, messire Hélion choisit de diableriser la Nosfératu qui tomba en poussière très rapidement (un signe de son grand âge).

    Mes compagnons choisirent de dominer l’humain afin de lui faire oublier tout ce qu’il venait de vivre.

    Ils mirent la main sur un médaillon magique porté par la Nosfératu (inutilisable pour eux mais qui semblait contenir lui aussi du Virtus), et sur deux grimoires en bon état. L'un d'entre eux contenait les recherches magiques de la Nosfératu, et l'autre ce qui ressemblait à un journal.

    Au fond de la pièce se trouvait une lourde double-portes en bois.

    Bonisagus (David)

    Messages : 675
    Date d'inscription : 23/10/2016
    Age : 55

    Revenir en haut Aller en bas

    Revenir en haut

    - Sujets similaires

     
    Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum